Janine Kotwica

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Alain Gauthier ou les avatars de l’innocence 


Le coronavirus a fauché Alain Gauthier, à Boulogne-Billancourt, le 3 avril 2020, dans la solitude glauque de la pandémie. Cet artiste discret et élégant, au regard intensément bleu, était plein d’attention pour ses amis, d’une espièglerie désarmante, et d’une galanterie surannée qui s’exerçait dans ses manières, mais aussi dans ses courriers qui ont miraculeusement résisté à la révolution télématique. En ces jours de Toussaint morose et confinée, les souvenirs de nos longues années d’amicale complicité, partagée aussi avec sa femme Elisabeth, me remplissent de chagrin.

Alain Gauthier ou les avatars de l’innocence 

 par Janine Kotwica

Alain Gauthier était né, à Paris, le 21 août 1931, et fut à la fois affichiste, dessinateur de presse-magazine, illustrateur et peintre.

Ancien élève de Paul Colin dont il avait, à ses débuts, quelque peu épousé la patte, il trouva vite son style, très personnel, et devint alors un grand virtuose de l’affiche commerciale, institutionnelle et culturelle, ce qui lui a valu de très nombreuses distinctions internationales en France mais aussi à Londres, Essen, Tokyo, New York, sans que, jamais, cela n’égratigne sa modestie.

 

Au commencement était la pub…

Lorsque l’on connaît la sophistication et l’ambiguïté de ses œuvres picturales de la maturité, on ne peut qu’être surpris par la naïveté des créations commerciales de ses débuts, souvent éditées par Guy de La Vasselais, et dont quelques-unes furent réalisées avec son ami Auriac. Il a créé pour toutes sortes de produits alimentaires, des vêtements (la lingerie féminine l’a beaucoup inspiré…), des chaussures, des appareils ménagers… Il a dessiné le logo du Père dodu, exploité de façon abusive par la marque qui a effacé sa signature qui se trouvait… sur le rôti ! Même si on ne sait pas toujours qu’il en est l’auteur, personne n’a oublié la « fraîcheur » et la « santé » des premières pub de Danone, avec ses fillettes aux yeux rieurs, leurs joues rondes et roses, et leurs silhouettes replettes à la taille si fine qu’on les entoure de deux doigts. La ménagère de la cocotte SEB, la maman des pâtes Milliat frères avec sa ribambelle de petits gourmands, la paysanne de Tartinette se ressemblent comme des sœurs. En revanche, l’ondine de Teppaz ou la baigneuse de Chaffoteaux et Maury, si chastes soient-elles dans leur nudité, présagent doucement de l’érotisme contenu à venir. Quant au Père Noël de Hoover, on le retrouvera plus tard sur une célèbre couverture d’un recueil de Michel Tournier.

Il a dessiné pour diverses industries, des compagnies aériennes, de nombreuses banques, la Poste, et même le Ministère de la Santé : des campagnes pour l’examen médical prénuptial, des carnets de grossesse, des incitations à la vaccination… Si certaines, désuètes, pourraient désormais prêter à sourire et font figure de documents sur notre histoire sociale, d’autres restent d’une vivante actualité.

Très nombreuses furent aussi ses campagnes pour les événements culturels, à commencer par les affiches de ses propres expositions, dont pas moins de cinq avec moi. Salons du livre ou de la carte postale, musées, galeries, maisons d’édition : toujours, il a su mettre en lumière la spécificité profonde de chaque événement, avec intelligence, grâce et humour.

Ses chefs d’oeuvres seront les campagnes sobres et raffinées des chaussures Bally hommes, et femmes surtout, ou ses variations sur la croix rouge du Champagne de Castellane, maison où il avait pris la succession du grand Cappiello et de son cher ami Léo Kouper. La stylisation extrême des silhouettes, la suprême élégance des postures n’appartiennent qu’à lui. François Ruy-Vidal qui deviendra son éditeur et son ami, parlait avec admiration de « l’harmonie sensuelle chargée d’émotion et de plaisir » qui se dégageait de ces affiches.

Et la presse- magazines…

Sa première publication connue paraît, en 1968, dans Plexus N°15 : sur la couverture, une candide donzelle dénude effrontément, en fixant le lecteur droit dans les yeux, deux ronds petits seins bien fermes. Comme Balthus, cet ogre au cœur tendre aimera toujours croquer les jeunes filles. Il a par la suite fourni de nombreuses contributions, à l’érotisme distancié, aux magazines « de charme » Lui et Play Boy, sans jamais se départir de sa naturelle distinction. Jamais, au grand jamais, la moindre vulgarité, même dans les compositions les plus osées. Ses dessins sont parus aussi dans Elle, Le Point, L’Expansion, Télérama, Graphis, Cosmopolitan, New York Times, Das Magazin, Géo, à qui il a fourni des dessins originaux ou offert des reproductions de ses peintures.

Un illustrateur exceptionnel

L’éditeur François Ruy-Vidal recherchait des artistes et des écrivains qui n’étaient pas catalogués pour la jeunesse. Ce fut, en 1974, par la publication chez Grasset de Zizou, artichaut, coquelicot, oiseau, sur un texte de Jean Chalon, journaliste au Figaro littéraire, que débutèrent leur fructueuse collaboration. Dans ce petit album plein de grâce apparaissent déjà les thèmes si poétiques de son univers d’illustrateur : un pierrot diaphane, une fillette aux grands yeux naïfs, une pleine lune à la fois protectrice et inquiétante, des larmes irisées, un chat noir mystérieux, des miroirs aquatiques, un jardin aux fleurs hiératiques… On ne peut énumérer tous les motifs lyriques, admirablement peints, des images de cet album, annonciateur d’une œuvre inimitable.

Alors suivirent, toujours avec François Ruy-Vidal définitivement conquis, d’autres livres, Les Avatars de Pilou, sur un texte de Jean Joubert où il se régale des métamorphoses du jeune héros, Un chien de saison écrit par Maurice Denuzière où il s’expérimente au grotesque, et, avec le musicologue André Hodair, Mouna et le petit fantôme, avec sa très charmante et rêveuse petite héroïne. En 1980, aux Éditions de l’Amitié, Les Papillons de Pimpanicaille, malicieux recueil de formulettes et comptines, dévoile une bouffonnerie jubilatoire qui flirte avec la subversion.

Il participa à l’aventure des Chansons illustrées, encore publiées par Ruy-Vidal chez Alain Pierson, mettant en images Claude Nougaro, Tino Rossi, Léo Ferré, Edith Piaf…, avec une mention spéciale à la Brave Margot de Georges Brassens qui dégrafe innocemment son corsage « pour donner la gougoutte à son chat » : Alain Gauthier aimait les chats : chatteries sensuelles et diableries félines se lovent un peu partout, avec délices, dans toutes ses œuvres et ont fait l’objet d’une exposition au Centre André François (Félines, 2012).

Avec Michel Tournier

Les affinités électives qui l’avaient rapproché de François Ruy-Vidal, il les éprouva aussi avec l’écrivain Michel Tournier, lui aussi grand amateur de chats, qui ne manqua jamais d’évoquer avec bonheur et enthousiasme sa collaboration avec Alain Gauthier. L’intelligence équivoque des images entrait en parfaite résonance avec les provocations spirituelles du texte.

La Fugue du Petit Poucet, Alain Gauthier l’illustra deux fois, en 1978, et en 1994. C’est très intéressant de voir comment, entre ces deux éditions d’un même texte, l’artiste a mûri dans son trait et ses techniques. La seconde version est incluse dans un recueil de contes et nouvelles de Tournier. Dans Le Miroir à deux faces, Gauthier s’essaie avec brio à l’orientalisme, et dans Amandine et les deux jardins, il évoque le mal-être et les émois d’une fillette écartelée entre le jardin ordonné de l’enfance et le jardin énigmatique de l’adolescence, où Kamicha(tte), la petite femelle, va l’emmener religieusement. Un troublant rite initiatique qu’auteur et illustrateur ont célébré en toute connivence avec une sensibilité ambiguë, sur le fil, sans jamais sombrer dans la perversité.

Il créa aussi, dans la collection Folio, toujours pour Michel Tournier, la couverture de Sept Contes et celle du Coq de bruyère, une nativité iconoclaste où le Père Noël allaite l’Enfant Jésus. Des couvertures, il en dessina de très nombreuses, en France et aux États-Unis, et il peignit aussi quelques pochettes de disques.

Mystères et métamorphoses

Avec Frédéric Clément pour son atelier Nuaginaire, il s’adonna avec bonheur aux Verts paradis de la transfiguration (Magnard, 1986). Pour Le Papillon de toutes les couleurs, sur un texte de Didier Daenynckx (Messidor-La Farandole, 1993), l’Académie Goncourt lui décerna le Prix Alphonse Daudet et l‘association avec François David pour Est-elle Estelle? lui valut une plaque d’or à Bratislava (Motus, 2002). Son dernier livre, Nous, les loups, édité chez Bilboquet sur un texte de la jeune Edith de Cornulier-Lucinière, reprend superbement, avec une rare délicatesse, quelques-unes de ses intimes obsessions (2007).

Il publia, chez Ipomée, avec l’éditrice Nicole Maymat, plusieurs beaux albums très réussis, dont l’exceptionnelle relecture de La Belle et la Bête, qui conjugue les souvenirs du film de Jean Cocteau et du conte de Madame Leprince de Beaumont avec des réminiscences de Gustave Doré (1988). Modulations anachroniques, double jeu des métamorphoses de la Bête en prince et de la Belle en chatte, sensualité trouble de l’animalité, mystère pudique des masques, font de ce livre, imprimé et relié avec un soin bibliophilique, un chef d’œuvre universel. Disparue lors d’une exposition, une superbe image de la Belle penchée sur la Bête mourante, avec l’intersection parachronique d’un pylone et d’une voie ferrée, renouvelle, avec finesse, le thème pictural de la Descente de croix.

Ses héroïnes préférées

Inoubliables sont ses interprétations des contes du patrimoine. Au Seuil, sous la houlette de Jacques Binztok, il a revisité magistralement Peau d’âne (2002) et Mon Chaperon rouge (1988) dont les versions, déconcertantes et ambiguës, s’adressent plus à l’adulte qu’à l’enfant : les dessous psychanalytiques de ces contes, avec leurs connotations sexuelles clandestinement dissimulées, affleurent discrètement dans ses images. Ces deux textes sont d’Anne Ikhlef, mais Alain Gauthier a pris ses distances avec la littéralité en créant un climat nocturne de poésie, de gravité et de sensualité diffuses. Les subtiles références culturelles y sont des gourmandises de lettré et son identification assumée au loup donne beaucoup à penser.

Alice est sans conteste son héroïne préférée et Lewis Carroll, par delà le temps, un frère de papier. Cette petite fille bravache et fantaisiste, il l’a représentée dans ses affiches, ses peintures et, bien évidemment, dans ses illustrations : chez Rageot en 1991, il met en images un mémorable Alice au Pays des merveilles, retraduit par Jacques Papy, puis la galerie L’Art à la page publie, en 2005, un livre d’artiste, Alice ou les chemins de la mémoire, dont Alain Gauthier a écrit le texte avec une subtilité d’écriture qui laisse pantois.

Le Voyage à l’envers

Cette virtuosité stylistique, on la retrouve dans un film de Fabrice Beau, réalisé en 2008, Le Voyage à l’envers, dont le commentaire fut écrit et dit par Alain Gauthier. Le film se promène dans l’univers pictural de l’artiste, si musical, avec son érotisme élégant, son onirisme sophistiqué, ses sihouettes hiératiques et son atmosphère doucement mélancolique. La vie intérieure, à peine devinée, se dévoile en transparence. Le désir est transcendé et tenu à distance. On retrouve, dans ses peintures, les qualités fascinantes de ses illustrations : sens précieux des demi-teintes, maîtrise parfaite de l’acrylique, harmonieuse structuration de l’espace et art de la composition hérité, sans doute, de sa longue pratique de l’affiche.

De très nombreuses expositions lui furent consacrées dans le passé à travers le vaste monde, mêlant affiches, illustrations et peintures. Les 47 Images Images légendées, publiées en 2008 par Marie-Thérèse Devèze à L’Art à la page, sont une sorte de répertoire confidentiel de ses récurrences thématiques. Jean-Claude Le Dro a effectué, en 2015, un inventaire de ses œuvres, mais tiré, seulement, à cinquante exemplaires : une rétrospective de son œuvre serait désormais la bienvenue.

publié le :30/11/2020
par : Les Arts dessinés
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