Chère Janine,
Chun Liang et moi-même avons été désolés de prendre connaissance de votre courrier du 18 juin.
Plus que les soucis financiers qui peuvent quelquefois se comprendre – mais les êtres entiers surmontent souvent cette épreuve avec l’ingéniosié et l’énergie qui les caractérisent,-, c’est l’étroitesse du regard qui surprend, consterne, et, dans le pire des cas, accable. C’est toujours plus vrai lorsque cela concerne des reptésentants du peuple dont on attend qu’ils aient une vision et que celle-ci vient à manquer, pire, à rabougrir un paysage précieux, celui de la création, de la culture, celui de la Beauté. Lorsque les scintillements font peur à la nuit, il faut changer de nuit ! Certaines sont douces, étoilées.
Nous nous réjouissons de lire que la situation n’a pas eu raison de votre volonté.
Et que vive le Centre André François.
Avec notre amitié
Loïc Jacob
Chun -Liang Yeh
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