Janine Kotwica

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Le petit mouton illustré


Evoquer, dans la littérature d’enfance, la présence d’un animal, équivaut souvent à s’interroger sur les processus d’identification du jeune lecteur à cet animal. Peu importent ses caractéristiques zoologiques, l’animal agit en humain et véhicule les émotions de l’enfant et les leçons que l’adulte espère transmettre  par son truchement. Sa fonction est alors essentiellement éducative. Cette réflexion préliminaire s’applique très peu à notre mouton. Celui-ci est avant tout un émissaire chargé de culture. Ses représentations, dans l’album illustré, abondent en références, qu’elles soient mythologiques, religieuses, astrologiques, littéraires, folkloriques, ethnologiques ou lexicologiques. Comme le loup auquel il est souvent associé, il est plus, dans les ouvrages destinés à la jeunesse, un produit de la civilisation que de la nature. Les auteurs et illustrateurs qui se sont attaqués à son image ont été submergés de réminiscences de toutes sortes. Et les historiettes gentillettes, naïvement anthropomorphiques, exemptes d’arrière-fond culturel, sont rares dans sa bibliographie.
Les anthropomorphes    
Rares, certes, mais pas totalement absentes.Ainsi, Bu et Bê ont-ils des comportements humains.  Bipèdes, vêtus, coiffés, chaussés, ils vont au supermarché, font de la luge et apprennent à danser. Mais ces héros sont totalement isolés dans la production éditoriale française. D’ailleurs, ces deux livres sont traduits du suédois, ce qui explique sans doute leur marginalité.
Compère le loup
Omniprésent, en revanche, dans les moutonnades françaises, le personnage du loup.Les exemples abondent. Ainsi les « petits-moutons » de Jean-Charles Sarazin sont-ils ,comme Bu et Bê, anthropoformes. Confortablement installés dans leur canapé, ils regardent la télévision malgré l’interdiction de leurs parents lesquels portent, avec élégance, bijoux et cravates. Mais ils ont des relations très particulières avec la famille Loup et ils figurent par là une réincarnation parodique des sept  biquets des frères Grimm. Aussi invitent-ils plus à l’intertextualité qu’à l’identification psychologique. Il en est de même pour l’allusion savoureuse- dans toutes les acceptions du qualificatif- au Loup et l’agneau de La Fontaine dont s’amuse Alan Mets dans Ma culotte.Un livre iconoclaste, écrit avec une verve  délibérément anticonformiste, illustré avec un graphisme hilarant et au message discrètement féministe:l’agneau y est une agnelle, un appétissant »petit gigot »,  qui va déjouer avec une astuce réjouissante les gourmands desseins d’un grand benêt de loup. Alan Mets prend du recul par rapport à une convention, qu’il avait auparavant respectée dans Le Miam-Miam, qui veut que les agneaux soient condamnés à être dévorés par les loups.C’est également en opposition avec cette convention que se situent Alexis Lecaye et sa soeur Nadja dans un conte très drôle, La bergère qui mangeait ses moutons. Le loup y fait alliance avec le troupeau pour se régaler d’une  bergère dodue dont les rondeurs grassouillettes sont croquées sans pitié par le pinceau ravageur de Nadja. Anticonformisme toujours, distance assumée depuis les souvenirs littéraires et folkloriques, renversement ludique des symboles sont présents aussi dans Bleue bergère qui mêle les réminiscences des apologues d’Esope ou de La Fontaine à celles du Petit Chaperon rouge ou de Jeanne d’Arc, mais avec un ton très différent. La gravité d’une quête initiatique remplace les éclats de rire des livres précédemment cités.  La référence aux contes du patrimoine est beaucoup plus ténue dans Lou de Bénédicte Guettier. Cet album raconte en effet les difficultés que rencontre un couple de parents-moutons avec leur fille capricieuse. Mais ici aussi, le loup est présent:  par une sorte d’oxymore, cette agnelette désobéissante, tout en gambadant et broutant comme ses congénères, porte un prénom lyconyme. Par ses caractéristiques animales et ses sentiments humains, elle assure la transition entre les livres suédois ou La télévision,  délibérément anthropomorphiques, et les visions plus proprement zoomorphes..Mario Ramos,dans Le mouton et moi, s’amuse avec le processus d’identification: « Le mouton mange de l’herbe. Moi pas.Le mouton est tout couvert de laine. Moi pas. Le mouton est délicieux. Moi pas. Le mouton suit le troupeau. Moi pas.Le mouton a peur du loup. Moi aussi. » Ce qui réunit l’enfant et l’animal est alors une terreur immémoriale… Est-il  en outre nécessaire de citer, dans cette amorce d’inventaire des occurrences du loup dans la littérature moutonnière, les innombrables illustrations de La Fontaine,  les grands anciens, bien sûr, si prestigieux, les Oudry, les Doré,les Grandville, les Rabier, les Boutet de Monvel, mais aussi de talentueux contemporains, Alain Letort, inspiré par Jérôme Bosch, ou Tony Ross. qui met son humour très britannique au service de notre patrimoine? Une source d’inspiration inépuisable…
La symphonie pastorale
Que le loup soit  associé de façon privilégiée au mouton ne doit pas nous faire oublier le thème des  églogues qui, s’il est moins fréquent dans la production destinée à l’enfance, y  est représenté par des livres délicieux dont certains ont fait date dans l’édition internationale. Le plus élégant, et le plus proche par l’esprit des bergeries du Grand Siècle ou de l’atmosphère de Trianon, est  Il pleut, il pleut, bergère qui fut inspiré à Philippe Dumas par Fabre d’Eglantine.  Il y a du Racan dans cette idylle que narrent, en grand format, de ravissantes aquarelles . Bucolique aussi est l’inspiration  de la japonaise Satomi Ichikawa.  L’animal y est un compagnon des jeux d’enfants dans un décor champêtre délicatement peint. Compagnon de jeux est également Le mouton de Marcel Aymé, même si le récit qui le met en scène n’a que de très lointains rapports avec les pastorales traditionnelles. C’est ici encore Philippe Dumas qui prête sa plume alerte à des croquis jubilatoires qui mériteraient une réédition dans une collection plus raffinée. Du monde des chansons populaires nous vient encore Il était une bergère irrévérencieusement croqué par Alain Letort. Et, quasi inclassable, en marge de la tradition bucolique, se place L’histoire d’un mouton , un très bref récit rustique pour tout-petits, humoristique en diable, de l’époque où Grégoire Solotareff peignait des aplats très colorés énergiquement cernés de noir.
Le Seigneur est mon berger
Bergers, les hommes de la Bible ont vécu dans l’intimité de leurs troupeaux et ont fait entrer les métaphores pastorales dans leurs psaumes et dans de nombreux récits fondateurs. La plupart des grands patriarches étaient des pasteurs et il n’est guère étonnant que le mot ait fini par remplacer celui de presbytre et désigne le prêtre de nombreuses confessions. Quelques-uns de ces pasteurs de la Bible ont inspiré l’illustration contemporaine. Ainsi Letizia Galli a-t-elle peint d’abord Abel avant le premier fratricide, puis Laban,  et Jacob rencontrant Rachel auprès d’un très symbolique puits , Moïse enfin devant le buisson- ardent..Et, quelques années plus tard, changeant de manière picturale et s’inspirant des avant-gardes russes, elle transfèrera les amours de Rachel et de Jacob dans celles, très fécondes, d’une blanche brebis et d’un mouton noir.  Largement influencé par ce contexte biblique, avec la complicité inspirée de Georges Lemoine qui a remarquablement rendu la profondeur spirituelle de son texte., Pierre-Marie Beaude met en scène des bergers conteurs qui enrichissent  leurs travaux et leurs jours  de méditations sur les abysses de la foi. Le Nouveau Testament est lui aussi présent dans l’album de jeunesse, même si les métaphores du « Bon Pasteur » ou de l' »Agneau pascal » n’y font pas recette. C’est en effet surtout par les bergers de Noël que sont illustrés les Evangiles. Les exemples pourraient être multipliés. Ne citons que les styles si différents du hollandais Dick Bruna et de Dominique Leclaire imageant un émouvant conte mystique de Selma Lagerlöf. La quête de lumière dans une inquiétante obscurité, on la trouve aussi chez Baumann et Gantschev qui dépeignent un émouvant petit berger illuminant ses moutons de pierres rendues précieuses par la lune . Et l’astrologie n’est pas non plus absente de ce chapitre puisque Monika Beisner illustre une légende apocryphe expliquant la naissance de la constellation du Bélier par une joute où se seraient affrontés Dieu et Diable . Il ne semble pas absurde de rattacher encore aux pastorales bibliques le personnage de Jeanne d’Arc qui a inspiré bon nombre d’auteurs et d’illustrateurs dans les décennies antérieures. A cause d’abusives connotations politiques, on ne trouve plus, dans notre actuel paysage éditorial, de parutions nouvelles et il nous faut paradoxalement explorer le domaine commercial de la perfide Albion pour trouver un album récent sur le sujet. Expiation née d’un remords historique?  Quelles que soient les motivations de l’éditeur, elles nous valent la belle fresque picturale d’Angela Barrett qu’un éditeur (belge!) a traduite en français. La vignette du début, loin de toute iconographie hagiographique ou sulpicienne, rappelle les tapisseries mille-fleurs, tandis que, dans un album publié la même année à New York,  sa consoeur américaine Diane Stanley réinterprète avec bonheur les enluminures médiévales de Fouquet ou des frères Limbourg.
C’est nous qui la tondaine
Métaphore de la générosité, Millie, comme le « petit gigot » de Mets, comme les moutons comploteurs de Nadja, comme le mouton glouton de Satomi Ichikawa, comme l’agneau-plante de Monika Beisner,  se dépouille de sa laine au profit de frileux quémandeurs. Et l’on aborde là une autre constante des histoires ovines, la tonte de la laine et son corollaire obligé, le tricot, même si ces deux activités inhérentes aux sociétés rurales n’évoquent souvent plus grand chose pour nos petits contemporains: la lecture de Tricoti Tricota de Gerda Muller, un des classiques du Père Castor, a provoqué des torrents de larmes dans une école maternelle, les enfants étant persuadés qu’il fallait tuer les moutons avant de les tondre ! (Jeanne Willis emploie le synonyme pittoresque de « éplucher »…) Titania,  une brebis très… shakespearienne,  apprendra à Puck, le renardeau, au nom très littérairement connoté lui aussi,  toutes les subtilités de la fabrication et de la teinte des étoiles de laine. Le récit est fantaisiste, mais le désir évident de transmettre des connaissances en fait un titre qui flirte avec le documentaire. Cette proximité avec le documentaire est plus évidente encore dans A l’orée de la forêt et surtout dans les exceptionnels croquis d’Une ferme d’autrefois  exécutés avec maestria par Philippe Dumas où une particulière exigence esthétique  est mise au service d’une  ambitieuse découverte ethnologique et sociale.
Le monde des rêves
« S’il vous plaît, dessine-moi un mouton! »: l’insistante requête du Petit Prince est à jamais présente dans nos mémoires et ne cesse de nous émouvoir par sa naïveté incongrue.. Les petits croquis  de Saint-Exupéry ont  transporté leur message  métaphysique à travers le monde , occasionnant l’un des plus grands succès de librairie de la littérature d’enfance. Partant, les références au Petit Prince ne manquent pas dans  les albums contemporains, chez Claude Ponti en particulier. Mais c’est Elzbieta qui nous rappelle l’épisode du mouton. Dans un horrible cauchemar qui le dépouille de tout ce qu’il aime, Clown rêve: « J’avais une rose rose, un mouton l’a broutée »..Un mouton mystérieux apparaissait déjà dans un livre antérieur d’Elzbieta et, là aussi, hantait les rêves du héros, Dikou, « le-petit-troun-qui-marche-la-nuit »  Une oeuvre tendre et lyrique, dont le graphisme exaltait avec délicatesse la toison mousseuse et lunaire de l’animal et la poésie de son envol nocturne.. Le monde des rêves, tristes ou joyeux, les difficultés d’endormissement, ne sont pas étrangers à notre thème. « Compte les moutons! » recommande un père à son petit garçon qui ne parvient pas à trouver le sommeil. Et, incommensurable pouvoir de l’imagination, un troupeau de véritables moutons d’envahir la chambre! Cette idée, subtilement associée au thème de la métamorphose, on la trouvait déjà dans Adèle s’en mêle de Claude Ponti (à qui  l’on doit par ailleurs une remarquable évocation des moutons de Panurge) . Dans un vaste délire onirique, le ciel « moutonne » de nuages au dessus du lit d’Adèle qui va -enfin- sombrer  dans le sommeil. Jeu lexical, certes, auquel l’auteur se livre, en virtuose du paradoxe, dans un livre… sans texte! C’est à un autre étrange jeu avec la polysémie que s’amuse Grégoire Solotareff dans Mon frère le chien.  Les flocons de poussière de dessous le lit, « bien sages, tout gris et tout petits » s’incarnent en « des animaux bizarres…, d’étranges moutons, certains cornus, d’autres pas ». Des négociations avec ces créatures symboliques, « les zaduls », »papasses et mamasses », permettront d’instaurer une sorte d’entente résignée. De larges coups de pinceau, une matière épaisse, un format étiré qui évoque la solitude affective de l’enfant face à l’incompréhension des « Zaduls » renouvellent de façon magistrale le livre d’identification psychologique.
Ainsi la présence disséminée du mouton dans l’album illustré recouvre-t-elle la plupart des thèmes de l’univers culturel  adulte. Au sein de cette vaste exposition, cette toute petite incursion dans les univers enfantins est une sorte de microcosme en abyme où se retrouvent pêle-mêle l’ethnologie, les sciences naturelles, la mythologie, la psychologie, la religion, la littérature, la chanson, l’astrologie…Le sujet est si vaste qu’il eût pu, à lui seul, occuper l’abbaye et il est regrettable que le manque de place ne permette pas de montrer davantage d’originaux qui témoigneraient en outre de l’extraordinaire vitalité et de l’authentique créativité artistique de l’illustration contemporaine.La bibliographie jointe permettra  de compléter un peu ce modeste aperçu.
publié le :02/06/1999
par : Musée départemental de l'Abbaye de Saint-Riquier
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