Janine Kotwica

  • Qui suis-je ?
  • Entretiens
  • Expositions
  • Publications
  • Conférences
  • Revue de Presse
Vous êtes ici : Accueil / Publications / Entretien avec Henri Galeron

Entretien avec Henri Galeron


 

C’est dans son atelier de Montrouge, sous le regard fascinant de masques et de statuettes africaines qu’Henri Galeron me reçoit. Illustrateur provençal, né en 1939 dans les Bouches du Rhône, diplômé en 1961 des Beaux-Arts de Marseille, affichiste à ses heures, il a mis en images de nombreux documentaires et s’est fait connaître pour ses interprétations jubilatoires et décalées de textes littéraires déjantés, oniriques et inattendus. Une rencontre passionnante avec un artiste rare et discret. Par Janine Kotwica.
Mis en ligne en février 2011
entretien-henri-galeron-01
« Chacun son tour » Gilbert Laffaille.
Éditions des Grandes Personnes et Patrick Couratin 2010

Vous avez participé à Un posthume sur mesure, l’hommage que j’ai rendu à André François et vous avez célébré son anticonformisme en le représentant peignant la tête en bas. Ce portrait ne pourrait-il pas être le vôtre ?
Peut-être… Je n’y avais pas pensé… C’est quelqu’un que j’ai beaucoup admiré et respecté. Nos chemins se sont croisés trois fois. Il était grave et secret et on n’avait pas envie de le déranger. J’ai beaucoup aimé le film de Sarah Moon présenté au cours de son exposition à Beaubourg.

Le surréalisme est omniprésent dans vos images. Ce courant a-t-il compté pour vous?
Oui, beaucoup, surtout dans mes débuts, mais plus comme une méthode qu’une source d’inspiration.

Sendak et McKay ont aussi inspiré le graphisme de vos jeunes années. Je pense en particulier àMoka, Max, Mollie et moi…
En fait, c’est surtout Winsor McKay que j’ai imité, et Sendak, mais parce qu’il imite McKay!

Et Robert Crumb pour Le kidnapping de la cafetière ?
Robert Crumb et les dessinateurs de l’underground américain m’ont fasciné, le Push Pin Studio, Seymour Chwast, ou Milton Glaser… Delessert, aussi… En 1970 a eu lieu l’exposition The Push Pin Style au Musée des Arts décoratifs. J’en ai toujours le catalogue bilingue à portée de main. On se rendait compte que quelque chose de fort était désormais possible.

 

entretien-henri-galeron-02
« Les enfants de la lune et du soleil » François David.
Éditions Motus 2001

On a parlé quelquefois à votre sujet d’hyperréalisme, à la manière de certains peintres américains. Pour Les enfants de la lune et du soleil particulièrement. Trouvez-vous cette comparaison pertinente ?
Non, ou alors ce serait du réalisme raté. Ma technique est différente ; dans ce livre, c’est du crayon de couleur écrasé comme du pastel sur du papier teinté. Ce n’est pas léché, et quand j’emploie de la documentation photographique, je ne l’imite pas fidèlement. Je l’interprète.

 

entretien-henri-galeron-07« La pèche à la baleine » Jacques Prévert.
Enfantimages Gallimard 1979

Vous avez illustré, de Prévert, le livre mythique de La pêche à la baleine. Etait-ce un choix personnel ou une proposition d’éditeur ?
C’est Pierre Marchand qui me l’a proposé et j’ai eu beaucoup de plaisir à le faire.

La vue de Trouville, dans Hadji est un clin d’oeil à Savignac ?
J’adore en effet Savignac, sa concentration d’idées, l’image directe de ses affiches: représenter un personnage coupé en deux pour le demi-tarif de la SNCF est une idée simple mais géniale, et il fallait y penser. Je crois que je m’en suis souvenu en créant Quand et en illustrant Les Histoires naturelles de Jules Renard.

Vous avez magistralement rendu l’onirisme dérangeant de Kafka. Le pont est une exceptionnelle réussite. C’est vous qui avez souhaité ce travail ?
Oui, et pourtant sa traductrice, Marthe Robert, était opposée à une édition illustrée et a déclaré cette nouvelle «inillustrable», ce qui, bien sûr, m’a donné encore plus envie de la faire!

 

entretien-henri-galeron-03« L ’homme qui voulait apprendre à marcher aux poissons » d’après Edward Lear.
Éditions Patrick Couratin pour Panama. 2008

En fait, vous vous êtes fait une spécialité des textes «inillustrables», non? Ainsi de Lewis Carroll : vos images de Lettre d’anniversaire m’ont tellement marquée qu’elles se superposent pour moi à jamais au texte !
Malheureusement, je n’ai pu mettre en images que deux de ses lettres, mais j’aurais aimé en faire beaucoup plus. Et je rêve d’illustrer un jour ses Jabberwocky…

Lear ? Carroll ? Kafka ? Rien que des écrivains qui évoluent dans un univers fantasmagorique. Cela vous amuse de pervertir les mots, de cultiver les paradoxes, de faire s’entrechoquer texte et image ? Même le texte de Le Clézio, Voyage au pays des arbres, était marginal dans son oeuvre et laissait une grande part à l’onirique.
C’est un livre auquel je tiens beaucoup. Ce qui est passionnant, c’est de rechercher une idée, de s’en approcher, de tenter diverses esquisses. J’essaie toujours d’éviter la redondance.

Vous aviez illustré Rabelais mais les grands classiques sont rares dans votre bibliographie. Y en a-t-il d’autres que vous aimeriez illustrer ?
Perrault, même si cela a été souvent réalisé. Ce serait une forme de défi ! Et je viens de publier, chez Gallimard, Le vilain petit canard. Je n’en connaissais que des versions édulcorées et j’ai été surpris et admiratif de celle de la Pléiade. J’ai été touché de découvrir qu’Andersen y racontait sa propre histoire.

 

entretien-henri-galeron-04« L ’homme qui voulait apprendre à marcher aux poissons » d’après Edward Lear.
Éditions Patrick Couratin pour Panama. 2008

Vous êtes aussi l’auteur de nombreuses couvertures, de Chair de poule chez Bayard, et des Mille Soleils aussi et beaucoup de Folio chez Gallimard. Lisez-vous les livres avant ?
Toujours, et différemment de mes autres lectures, le crayon à la main, pour prendre des notes, ou esquisser des dessins : c’est un réel plaisir pour moi. Je ne saurais pas créer une couverture en ayant seulement lu un ou deux paragraphes au hasard.

Parole a publié, dans un précédent numéro, votre premier dessin : celui du Géranium sur la fenêtre. Comment avez-vous connu François Ruy-Vidal ?
J’étais salarié chez Nathan où je faisais des jeux éducatifs. Je m’ennuyais un peu et je rêvais d’autre chose. J’admirais les livres publiés par Robert Delpire, les Le Foll, les André François. Nous étions abonnés à la revue Graphis et sur la quatrième de couverture, il y avait une publicité représentant, comme des timbresposte, les couvertures si novatrices de Harlin Quist. J’ai d’abord souhaité rencontrer François Ruy-Vidal. Ma femme et moi avons obtenu de Nathan, chez qui j’avais publié trois albums, voyage et hôtel pour la foire de Francfort et nous avons alors rencontré aussi Harlin Quist. La brouille entre les deux associés a malheureusement compliqué les choses. J’ai fait deux livres avec François Ruy-Vidal pour Grasset, La dompteuse et le musicien et Tagada, et j’ai ensuite publié chez Harlin Quist Le kidnapping de la cafetière.

Une autre rencontre qui a compté pour vous a été celle de Pierre Marchand ?
J’avais réalisé plusieurs couvertures de Folio avec Massin et Pierre Marchand m’a confié l’illustration de L’appel de la forêt, un des dix premiers Folio Junior, puis ça a été l’aventure passionnante desEnfantimages. Marchand était une très forte personnalité, parfois contestée,mais bourrée d’idées. Ce qui est troublant, c’est que, lorsqu’il a quitté Gallimard pour Hachette, il m’a confié de nouveau une couverture de L’appel de la forêt. Nous avons alors échangé un long coup de téléphone et je n’ai compris qu’après sa mort qu’il me faisait ainsi ses adieux, qu’il refermait la boucle. Maintenant, je collabore avec Anne de Bouchony et je publie avec elle un livre écrit par ma fille, Tom et son ombre. C’est un grand format avec des dessins au crayon noir.

Et François David ? Vous avez fait quelques beaux livres chez Motus. Une petite flamme dans la nuitest un livre troublant, sans doute une expérience intense ?
Le récit fait entrer l’imaginaire dans la tragédie impitoyable des camps nazis. Il y a le réel, terrible, et l’évasion par le rêve. Ce fut ma première collaboration avec François David comme auteur. C’est un éditeur exigeant qui a des options intéressantes et qui m’a proposé des textes que j’ai été heureux d’illustrer. Et j’aime bien le personnage. J’ai beaucoup aimé faire ensuite avec lui les histoires fantaisistes et déjantées de ce fou sage de Nasr Eddin Hodja.

L’extravagance des univers de Michel Besnier et Edward Lear est proche de votre monde. Et cette collection (Pommes pirates papillons, toujours chez Motus) est très raffinée par l’élégance de son papier et de sa maquette. Quelles techniques avez vous employées pour ces livres ?
Pour les poules, la plume, cela va de soi! Pour les rats, le crayon, et pour Sans queue ni tête, l’encre appliquée au pinceau. François David souhaite une technique différente pour chaque livre, et un couple auteur-illustrateur différent à chaque fois. Les deux livres avec Besnier sont une exception à cette règle. L’unité de la collection est donnée par le papier recyclé, le format, la couverture souple et l’impression en une couleur.

 

entretien-henri-galeron-05« L’ile du droit à la caresse » Daniel Mermet.
Éditions Harlin Quist 1998

Panama vient de rééditer L’île du droit à la caresse dont l’édition Harlin Quist de 1998 était épuisée. Que pensez-vous de ce très grand format ?
J’aimais aussi le précédent format que l’on avait bien en mains. L’agrandissement n’est pas homothétique et certaines images ont dû être recadrées. Le monde du livre a beaucoup évolué depuis Enfantimages et son petit format ! Mais l’important est que ce livre ait une deuxième vie.

Connaissez-vous Daniel Mermet, l’auteur du texte ?
Je l’ai rencontré une fois lors de la sortie de la première édition. J’avais lu aussi Nos années Pierrotoù il évoque le souvenir d’un ami disparu, un livre très personnel, sensible, qui m’a beaucoup ému. C’était plein de nostalgie et de tendresse.

Son Là-bas si j’y suis est une émission radiophonique iconoclaste mais peu fantaisiste. C’est souvent une exploration de contrées à problèmes et un forum de contestation, voire de révolte sociale, et certainement pas une annexe de l’Oulipo. Ce texte, avec ses mots-valise et ses néologismes, créatifs et fantaisistes, m’a donc surprise. Comment l’avez-vous découvert ? Qui a eu l’idée de ce livre ?
Patrick Couratin m’a demandé de choisir entre Quand les chats étaient verts qu’a finalement illustré Tina Mercié, et L’île du droit à la caresse. J’ai choisi le texte de Mermet à cause de ses parentés avec les Jabberwocky de Lewis Carroll : le prétexte pour se laisser aller à toutes sortes de délires. J’ai beaucoup hésité pour la Belle Lurette. Plus j’accumulais les esquisses, et plus elle devenait coquette, féminine, presque sexy.

D’où la page si réussie où elle lime ses ongles ?
Oui. Si j’avais pu refaire les images pour la réédition, c’est dans ce sens que j’aurais dessiné. J’aurais mis plus en valeur la sensualité du texte. Ecoutez le dernier paragraphe du livre: «Et le silence est tombé sur les coussins soleilleux de l’île du droit à la caresse. Ça sent le minoufle heureux, la praline en délire, l’amour des pas grand chose, la frite marginale et le jasmin. Depuis ce jour, l’île du droit à la caresse est devenue un vrai paradifoimieux pleinard et roupeux.» C’est vraiment sensuel, presque érotique. Si c’était à refaire, je le tirerais plus vers la bluette que vers la caricature et je donnerais alors moins d’importance à des personnages comme les orthograves.

 

entretien-henri-galeron-06« L’ile du droit à la caresse » Daniel Mermet.
Éditions Harlin Quist 1998

On a le sentiment que ces barbus sont peints d’après nature…
C’est le cas, en effet : quelqu’un a posé pour moi chez l’éditeur !

Vous semblez ne pas aimer beaucoup l’école. Comme dans Le géranium, le portrait des orthograves sent la révolte, le refus du conformisme. Je me trompe ?
Il y a, en effet, dans l’album, de la contestation contre les rigidités linguistiques que véhicule l’école, et une joyeuse célébration de l’inventivité verbale, de la créativité lexicale. Il y a quelques mots très beaux, et d’autres très drôles, et des phrases très poétiques.

Comment avez-vous trouvé le Tire-l’Arigot, et l’idée de l’île en forme de main ?
Tout bêtement dans le dictionnaire: un larigot est une sorte de flûte. Alors, j’ai inventé un grèbe dont le bec ressemblerait à une clarinette. Pour les alloufs, ce fut facile : c’est le mot argotique qui désigne les allumettes. La forme de l’île c’est, bien sûr, à cause de la caresse. Et j’ai, exprès, cultivé le côté «cliché» de l’île, plage et cocotiers !

 

entretien-henri-galeron-08Henri Galeron, «un pas comme les autres qui peint dans les nuages».
L’expression est de Jean-Pierre Siméon.

Et la forme bizarre des carabs ?
Je voulais faire des cactus avec la silhouette de Mickey, de Minnie, et aussi de Pluto mais l’éditeur a craint les réactions des services juridiques de Disney. Alors nous les avons déformés à l’ordinateur. C’est un outil magique qui nous a beaucoup servi. J’ai dessiné, par exemple, une seule peluche, un seul stylo, un seul bourdon, et l’ordinateur les a reproduits, multipliés. Nous nous sommes bien amusés !

 

publié le :02/02/2011
par : Ricochet
Revue

Les Arts Dessinés

Sara : L’Incertitude de la déchirure 02/03/2023
André François – Calembredaines au Daily Bul 03/12/2022
Jean Claverie – De la Bourgogne au Tenessee 03/09/2022
David McKee – Le Patchwork du bonheur 02/05/2022
Henri Galeron, le « paradifoimieux » de l’image 23/11/2021
Léo Kouper, le mime Marceau de l’affiche 28/06/2021
Alain Gauthier ou les avatars de l’innocence  30/11/2020
Adieu à Alain Gauthier 05/09/2020
Zaü Superbe et généreux 04/09/2020
D’un Massin l’Autre 22/06/2020
Pierre Cornuel Sur les rives du Yangzi Jang 22/06/2020
Fellini à la une! 01/03/2020
Daniel Maja Un dessinateur très littéraire 15/02/2020
Festival Tabook à Tabor 15/12/2019
Des images dans la ville 12/12/2019
André François Tous en scène! 15/11/2019
Mostre in Bologna 06/06/2019
Tomi Ungerer Un Diable en paradis 05/04/2019
Guy Billout ou l’humour philosophe 02/04/2019
Stasys Eidrigevičius – Rites et mystères 06/12/2018
Adieu, Elzbieta 05/12/2018
Etienne Delessert, un maître aimant les autres maîtres 21/09/2018
Les Maîtres de l’imaginaire 15/06/2018
André François, le retour? 05/02/2018

Mémoire d’images

Daniel Maja et Le Magazine littéraire 02/11/2020
Hello, Léo Kouper! 04/10/2020
Quatre talents bien singuliers 25/05/2019
Michelle Daufresne ou l’éternelle jouvence 20/02/2019
Les îles d’André François 06/10/2018

Bazar Masarin

Maryse Condé à Stockholm 02/01/2019
André François : Bio et Enfantina 25/09/2018

MeMo

Qui m’appelle? 12/10/2019
Comment la Souris reçoit une pierre sur la tête et découvre le monde 31/10/2018
Le Petit Brown
Sur la colline (Postface)
Vingt ans de MeMo : Le Petit Brown

Parole

Un nid pour l’hiver 02/02/2016
Yasuke 02/02/2016
Marion Duval 06/01/2016
Alphonse Allais et Henri Galeron 02/10/2015
« 50 ans d’illustration pour la jeunesse » 10/08/2015
Images de la Grande Guerre dans l’album 02/06/2015
Sancte Procrastine, ora pro nobis! 02/05/2015
Gustave dort 02/08/2014
Le Lion et les trois buffles 02/08/2014
Quelques images du clown dans le livre d’enfance 02/03/2014
Bologna 2013, un jubilé jubilatoire 02/05/2013
Aller à Bologne, c’est multiplier les frustrations… 02/02/2012
André François le Phœnix 02/09/2011
Bologna 2011, des fées et des sorcières 02/06/2011
Trois rééditions attendues d’André François 02/03/2011
Ylla, l’aventurière 02/03/2009
Coup de coeur : « Petit catalogue d’Arts premiers » de Pascale Bougeault 02/01/2009
Tomi Ungerer for ever 02/02/2008
Tokyo a rendu hommage à David McKee, épistolier créatif et généreux 02/08/2007
Un géranium qui n’en finit pas de mourir … 02/02/2006
Claude Ponti, « le porteur de miracles » 02/01/2003
À propos de May Angeli 02/06/2000
Portrait 02/10/1997
À propos de Frédéric Clément et d’une carte de voeux 02/09/1997
François Ruy-Vidal: le retour
Jacqueline Duhême

Les Maîtres de l’imaginaire

Letizia Galli 30/03/2019
Alain Gauthier 15/11/2018
Nicole Claveloux 15/11/2018
André François 15/03/2018
Etienne Delessert 15/03/2018
Georges Lemoine 15/03/2018
Guy Billout 15/03/2018
Henri Galeron 15/03/2018
Jean Claverie 15/03/2018
Sarah Moon 15/03/2018
Stasys Eidrigevicius 15/03/2018

Ricochet

Storie di Bambini 30/04/2017
Bologna 2016 02/04/2016
Redécouvrir Colette Portal… 02/03/2016
Auguste-Maurice Cocagnac : des images pour l’enfance 02/12/2015
May Angeli et la Tunisie 12/11/2015
Un Ours bleu sous les lambris 02/06/2015
Maryse Condé à l’honneur 29/04/2015
C’était à Bologne en 2014… 02/04/2014
François Ruy-Vidal ou le vertige de la liste 02/04/2013
Les Félins d’Alain Gauthier 02/05/2012
L’Homme qui plantait des arbres de Jean Giono 02/06/2011
Zaü, du cœur à la main 02/04/2011
Les Enfantina d’André François 02/03/2011
Sarah Moon, « le vacillement du temps et des lumières » 02/03/2011
Entretien avec Henri Galeron 02/02/2011
Un posthume sur mesure pour André François

Griffon

L’ami Pierre (Cornuel) 22/04/2018
Bibliographie de PEF 02/03/2008
Gerda Muller : la sœur aînée de Marlaguette 02/10/2005
Jacqueline Duhême : Alice, Sophie, Fifi, Line et les autres… 02/08/2004
Christophe Besse : une petite place pour une petite plume 02/02/1999
Une tasse de temps qui passe (Martine Delerm)

Papiers Nickelés

André François : le mystère de la mirifique trouvaille est éclairci ! 02/06/2016
Une mirifique trouvaille… 02/05/2016
André François, le Phœnix 02/09/2012
Et si on redécouvrait Alain Lefoll… 02/06/2012

Seuil Jeunesse

Une présence poétique 13/09/2016
« Dis-moi » de May Angeli 02/01/2008
« Nuit d’orage » de Michèle Lemieux 02/01/2008
GIPSY et l’homme du canal, Jonathan Frost 02/01/2008
La belle au bois dormant de Tahar Ben Jelloun et Anne Buguet 02/01/2008

Dictionnaire encyclopédique du Livre de jeunesse

Alan Mets 02/10/2013
André François 02/10/2013
Beatrice Alemagna 02/10/2013
Claire Forgeot 02/10/2013
Claude Boujon 02/10/2013
Claude Ponti 02/10/2013
Daniel Maja 02/10/2013
Danièle Bour 02/10/2013
Elzbieta 02/10/2013
Gabrielle Vincent 02/10/2013
Gerda Muller 02/10/2013
Jacqueline Duhême 02/10/2013
Jennifer Dalrymple 02/10/2013
Katy Couprie 02/10/2013
Kelek 02/10/2013
Laura Rosano 02/10/2013
Letizia Galli 02/10/2013
Louis Joos 02/10/2013
Marcelino Truong 02/10/2013
Maryse Condé 02/10/2013
May Angeli 02/10/2013
Michelle Daufresne 02/10/2013
Olga Lecaye 02/10/2013
Pascale Bougeault 02/10/2013
Philippe Dumas 02/10/2013
Tomi Ungerer 02/10/2013
Zaü 02/10/2013

Aujourd’hui l’Afrique

Mostre in Bologna 06/06/2019
A la découverte de la vie, Une nouvelle collection documentaire pour la jeunesse béninoise. 02/12/2004

Départ du centre André François – soutiens

Le site iconovox 02/11/2014
Lettre ouverte à Bernard Hellal 21/09/2014
Dominique Baillon-Lalande 01/09/2014
Jean-Michel Buck 02/08/2014
Mon appel du 18 juin 2014 18/06/2014
Andrée Gavrel 02/06/2014
Caroline Corre 02/06/2014
Etienne Delessert 02/06/2014
HongFei cultures 02/06/2014
Jean Perrot 02/06/2014
Jean-Charles Sarrazin 02/06/2014
Thomas Marc, neveu d’André François 02/06/2014

La Revue des Livres pour enfants

May Angeli – Secrets d’Albums 10/11/2022
Janine Despinette Dame d’oeuvres de la Littérature en couleurs 30/12/2020
Alain Gauthier Le charme à la boutonnière 25/07/2020
Gageure : André François en 6 images 15/03/2018
Jean Perrot, Carnets d’illustrateurs 02/04/2012
Balade aux îles Baladar 05/06/2009
Michelle Daufresne, la dame de coeur 14/04/2007
Le Blues de l’illustrateur : Jean Claverie à Moulins 02/01/2007
L’impossible Monsieur Pommaux 02/06/2006
Un posthume sur mesure pour André François

Libbylit

Louis Joos Ombres et lumière 04/10/2020
Éternelle Elzbieta 31/03/2019
Dire la Grande Guerre aux enfants 20/12/2018
Dossier Mai 1968 15/09/2018
Merveilleux David Merveille 15/03/2017

Festival des Illustrateurs (Moulins)

Gilles Bachelet : la culture en goguette 25/09/2019
Malika Doray au paradis des lapins 15/09/2017
Les métaphores de Marion Fayolle 02/09/2015
André François Circus à Moulins 02/10/2013
Henri Galeron, le rêveur facétieux 02/09/2011

Divers

 Pierre Cornuel, un talent protéiforme 12/10/2018
Etienne Delessert 22/04/2018
Visioni d’Infanzia nei libri e nelle immagini di Letizia Galli 26/03/2018
Adieu, très chère Carla… 04/06/2017
Fermeture de l’Atelier Girard 29/04/2016
In saecula saeculorum 02/11/2014
Les Dames de Zaü 02/02/2014
Une perte irréparable 02/01/2014
In Danieli blogo felicitas 02/04/2011
Elle & lui 02/03/2010
Chien Bleu 02/03/2006
Le sexe des mots 02/05/2005
Images à la page 02/10/2000

Consultez

  • Mon CV
  • Les expositions
  • Les publications

Catalogues d’expositions

L’exposition « Jeux d’été» 02/05/2011
Pour adulte seulement 02/06/2010
Au jour le jour, de Danieli Blogo 02/09/2009
Cochon et récits d’enfance illustrés 08/05/2007
Cocottes en papier : la gent gallinacée et le livre illustré 02/01/2003
Le petit mouton illustré 02/06/1999
Letizia Galli, la Toscane insoumise
Confidentialité et cookies : ce site utilise des cookies. En continuant à naviguer sur ce site, vous acceptez que nous en utilisions.
Pour en savoir plus, y compris sur la façon de contrôler les cookies, reportez-vous à ce qui suit : Politique relative aux cookies

© 2023 — Janine Kotwica • Mentions légales • Se connecter