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Quelques images du clown dans le livre d’enfance


Quelques images du clown dans le livre d’enfance

Il s’appelle Grock, Pipo, Medrano, Footit ou Chocolat, Fratellini, Zavatta ou Pierre Etaix, Rastelli ou Oleg Popov… Il a été applaudi, mais aussi photographié et peint, et a joué dans des films. Poète et musicien, il flirte avec la lune. Subversif et libertaire, il est souvent celui par qui le désordre arrive. Et même désespéré, il doit faire rire, rire, rire… Par Janine Kotwica

Monica Lutz a réinterprété quelques-uns de ses célèbres portraits dans de savoureuses silhouettes en tissu (Les Clowns, L’École des loisirs 1972). Favori des enfants, le clown est très présent dans les livres qui leur sont destinés : magistrales dégaines de Lionel Koechlin ou Elisabeth Ivanovsky, crâne silhouette et visage blême aux sourcils conquérants de Nathalie Parain…

Auguste et clown blanc

 Les clowns représentés dans le livre d’enfance ne respectent pas la tradition de cette dualité et tiennent le plus souvent à la fois de l’auguste, à qui ils empruntent le nez rouge, et du clown blanc, dont ils adaptent le costume.

Quelques exceptions cependant.

Ainsi Lorenzo Mattotti a-t-il fait de son Eugenio un truculent et généreux auguste, peint d’un pinceau ample qui démultiplie somptueusement les significations du texte de Marianne Cockenpot (Eugenio, Seuil, 1993). Eugenio, tel un nouveau Moïse, fut abandonné dans un berceau devant la roulotte de Georgio le magicien. De nombreuses années plus tard, durant la nuit de Noël, alors que, devenu clown, il avait perdu son rire, l’histoire se répète et il trouve, bonheur suprême, devant sa roulotte, un panier d’osier avec un bébé dedans. Alors, « les enfants du monde entier entendirent l’irrésistible rire d’Eugenio courir le long des ruisseaux, des fleuves et des océans ».

Pittoresque auguste aussi que le clown de Mischa Damjan magistralement mis en images par Józef Wilkoń. Subversif, il orchestre la révolte de tout un cirque (Quand le clown dit non, Nord-Sud, 1986).

On retrouve un thème voisin mais dans l’univers culturel et affectif très différent de La Revanche du clown. Sara y reprend une longue tradition héritée de la commedia dell’arte et de Giambattista Tiepolo. Elégant et gracile, son héros, parfait clown blanc, frère de Pierrot, muet – le livre est sans texte –, s’apparente au mime Marceau ou au Baptiste Deburau des Enfants du paradis. Chassé du cirque, il entraîne les animaux vers la liberté. Le tremblé si sensible des papiers déchirés de Sara suscite une poignante émotion (Thierry Magnier, 2011).

Encore un avatar du clown blanc chez Quentin Blake, croqué d’un trait alerte, et, là encore, sans texte. Clown (Gallimard, 1995) raconte, avec un humour très british, les abracadabrantes tribulations d’une marionnette-clown jetée à la poubelle, depuis son abandon jusqu’à son adoption.

Quatre albums d’une exceptionnelle qualité graphique.

Triste, triste était le clown…

 Pierre Etaix, qui avait pourtant participé à ce film, s’était insurgé contre la vision misérabiliste de Fellini dans Les Clowns (1970). Le pessimisme de la vision fellinienne est pourtant répandu : depuis le poignant « Ridi, Pagliaccio ! » de Leoncavallo, le sinistre bouffon a fait florès. L’opposition entre la mission de faire rire et le tragique de l’existence, ainsi celle du Chaplin des Feux de la rampe (1952), se retrouve aussi dans l’album de jeunesse.

Recevoir des coups est le quotidien du Clown de Roland Topor illustré par Andrée Prigent (Rue du monde / Petits géants, 2001).

Inspiré par le parcours de Darry Cowl, féru de fugue et d’harmonie et passé au cabaret puis à l’écran pour y jouer les zozoteurs ahuris, Michel Tournier a créé le personnage d’un talentueux pianiste, au prénom angélique, Raphaël, et au nom trivial, Bidoche, qui, poussé par une fiancée avide d’argent, abandonne les salles de concert pour les boîtes de nuit, le cinéma et le cirque où il déclenche les rires à son corps défendant. Las d’affronter l’enfer des ricanements, la bassesse, la lâcheté, le cynisme, la bêtise du public, écartelé entre la noblesse de ses aspirations et la vulgarité de sa situation, il se sauve de la déchéance, un soir de Noël, en interprétant au piano, dans un silence étonné et salvateur, Que ma joie demeure de Bach, cantate qui donne son titre à cette émouvante nouvelle de Tournier. Cette histoire d’une rédemption est merveilleusement servie par les dessins sensibles de Jean Claverie (Gallimard / Enfantimages,1 982).

En mai 1927, Jean Cocteau, dans la préface d’une brochure pour le Cirque d’hiver, Les peintres du cirque, rappelle la filiation entre l’amphithéâtre grec et la piste du cirque. Ainsi le maquillage et le nez rouge seraient les héritiers des masques antiques. « Il a ôté son nez et il le porte encore », écrit François David (Les Poètes et le clown, Møtus, 1993), rejoignant les recherches obsessionnelles d’un Stasys Eidrigevicius sur la confusion des masques et des visages. Dissimulé derrière ce grimage où il se refusait à lui-même, Duke, le clown de Rascal et Louis Joos (Le Voyage d’Oregon, Pastel, 1993) part avec Oregon, l’ours du cirque, tous deux en quête de leurs origines et identité : un magnifique road-movie dans l’Amérique profonde et souvent marginale de Percy Adlon ou Wim Wenders, entre trains ou trucks fatigués et motels interlopes, où Louis Joos fait montre de son exceptionnel talent de paysagiste, urbain ou rural. Au terme de ce périple qui les mène dans la nature vierge et pure de l’Oregon, il peut, « ouvert… à une nouvelle et incroyable rosée » (Henri Michaux), abandonner enfin, sur une sente neigeuse, son nez rouge devenu inutile.

Les histoires de nez sont légion dans l’album de jeunesse, comme Le Clown plus que rigolo, lui aussi en recherche de lui-même (Béatrice Deru-Renard et Louis Joos, Pastel, 2001) ou Vous n’avez pas vu mon nez ? d’Antonin Louchard (Albin Michel, 1995). Dans cet album jubilatoire, au graphisme créatif et coloré, René, désespéré par la perte de cet accessoire, part en quête de son nez dans le cirque, puis la ville  et la nature pour, finalement, le retrouver sous son oreiller. Le ton est léger car, ici, la tristesse du clown est passagère et circonstancielle. Celle de Chico le clown amoureux, création de jeunesse d’Yvan Pommaux (L’École des loisirs, 1980) ne l’est pas moins : un succès prodigieux sur la piste mettra fin à son éphémère dépression et lui gagnera l’amour d’Amalia la dompteuse.

Etoile, le clown-trompettiste d’Alan Mets, est chassé avec mépris à l’arrivée arrogante et tapageuse de Grand Clown Blanc. Jeté à la rue, il continue à jouer et fait danser Nouréyef, un chien « qui avait l’âme artiste ». Forts du soutien des enfants de leur public, affublés de nez rouges et armés de tomates, ils iront tous investir victorieusement le cirque et en chasser le « directeur pourri » et son cher Grand Clown Blanc. Humour et truculence pour cet album optimiste bien dans l’esprit d’Alan Mets (Etoile, L’École des loisirs, 1995).

Depuis son enfance bercée par la légende d’un oncle fugueur qui, adolescent, avait suivi un cirque de passage et avait fait fortune sous les chapiteaux de la vaste Russie, André François a été fasciné par le cirque. A tous les âges de sa longue vie, il a représenté les arts de la piste, acrobates, dompteurs, écuyères, et clowns surtout, et cela dans les contextes et supports les plus divers, affiches, livres, presse et publicités en tous genres. Alors, on ne peut qu’être surpris de constater que, mis à part son premier album, C’est arrivé à Issy-les-Brioches, paru en 1949 et racontant l’effervescence d’un petit village qui accueille un cirque, le monde circassien soit singulièrement absent de ses nombreux livres d’enfants.

Jean Clair, dont l’inspiration, lorsqu’il est commissaire d’expositions thématiques, est éblouissante, pourrait expliquer ce paradoxe. Dans La Grande Parade au sous-titre lumineux de Portrait de l’artiste en clown (exposition au Grand Palais à Paris en 2004),  inspiré par Picasso, Rouault ou Cézanne, l’historien de l’art médite en images sur le clown, double grimaçant du créateur, pitre incompris, isolé, bafoué, confronté à la camarde, et se gaussant de lui-même avec une ironie désespérée. Les nombreux autoportraits d’André François en clown, goguenards et tragiques, ainsi ceux de Reste(s) (Savon rouge, 1997), sont de la même engeance et n’ont, en effet, pas trouvé leur place dans ses enfantina.

« Le clown, écrivait Henri Miller, c’est le poète en action… Et c’est toujours la même sempiternelle histoire : adoration, oblation, crucifixion. »

Gelsomina et Cha-U-Kao

N’en déplaise à Annie Fratellini, il n’y a pas de parité chez les clowns, loin s’en faut ! Mais il y a quand même quelques merveilleuses clownesses dans le livre d’enfance.

Certaines de ces dames sont les compagnes de clowns masculins qui sont, eux, les véritables héros de l’album. Ainsi, Bénédicte Prieur, l’épouse mercantile de Raphaël Bidoche, fait une rapide prestation de clownesse dans le conte de Noël de Tournier précité, occasion, pour Claverie, de nous croquer une charmante silhouette en habit de lumière.

Domino, délicieux petit clown du Cirque rouge d’Eric Battut (Bilboquet, 2004), traverse une période de doute et s’interroge sur sa capacité à faire rire. L’amour de Dominette lui redonnera confiance en lui et leur duo comique soulèvera les ovations d’un public hilare et ravi. Le rond blanc de la lune et les visages blafards du couple éclairent poétiquement l’ardent fond pourpre des pages.

La référence absolue, fragile, aimante et pathétique, est sans conteste la petite Gelsomina de La Strada. On la retrouve, minuscule apparition aux cheveux jaunes et au manteau trop grand, dans Le Rêve de Federico (Alternatives, 1994). Illustrant un texte de la suédoise Monica Sangberg, Letizia Galli, particulièrement inspirée par ce metteur en scène qu’elle vénère, nous y peint et dépeint un Fellini enfant, rêveur lunaire, à qui une rencontre avec des saltimbanques révèle la magie de sa fertile imagination. Des clins d’œil graphiques aux films du maître se mélangent harmonieusement aux subtiles références picturales à Seurat, Chagall ou Fernand Léger.

Naissance encore d’une vocation, mais vite avortée, avec Sara et le clown (Milan, 1991) sur un texte de Gudrun Mebs, illustré par Quint Buchholz. La petite Sara, qui « rêve du cirque », rejoint une caravane où elle s’invite à faire le clown. Accueillie chaleureusement par le clown de l’équipe, elle découvre la cruauté inconsciente du public qui s’esclaffe de ses attristantes maladresses. « Les gens ont tellement ri quand j’ai pleuré », dit-elle. Mûrie par cette expérience initiatique, Sara retourne se faire dorloter dans le giron familial.

On connait bien Mademoiselle Cha-U-Kao, la clownesse peinte et lithographiée par Toulouse Lautrec. Chahut-Chaos, ah le joli nom !, si bien adapté à l’emploi ! Elzbieta s’en est-elle souvenue lorsqu’elle a campé la sympathique silhouette de la mamie clownesse, fulminante et prévenante, autoritaire et affectueuse, de Gratte-paillette (Pastel, 1989) ? Sans doute s’est-elle inspirée aussi, en suggérant la chaleur des rapports de l’aïeule avec l’enfant-clown, de sa fée-marraine à elle, qui a entouré son enfance de tendresse et d’histoires. Et ce n’est pas hasard si elle situe l’aventure dans le Jardin du Luxembourg qui lui est si cher : son implication émotionnelle est évidente (Rendez-vous à la Tour Eiffel, Pastel, 1989). Les situations cocasses et poétiques se succèdent : une clownesse qui tricote sur un banc public, une poule qui pond du haut de la Tour Eiffel, la mamie en élégant vicaire qui chasse les mouettes sur une plage à grands coups de parapluie, un éléphant qui s’envole en ballon… Merveilleuse Elzbieta…

La grâce des enfants-clowns

Il faut voir et revoir Yoyo, le chef d’œuvre de Pierre Etaix (1965), pour savoir ce qu’est l’esprit d’enfance. La déambulation étonnée de l’enfant-clown dans la demeure de son père est l’une des scènes les plus belles de l’histoire du cinéma.

On retrouve cette grâce émerveillée chez les enfants-clowns d’Elzbieta, non seulement dans son Gratte-paillette, mystérieusement descendu de la lune par la grande échelle des jardiniers du Jardin du Luxembourg, mais aussi dans tous ses petits porteurs de nez rouges : Jean qui pleure et Jean qui rit (Saperli et Popette, Popette et Saperli, Pastel, 1994) dont les comptines jouent savoureusement avec les interjections obsolètes de la langue française ; Toi + Moi = Nous (Pastel, 1998), deux petits cœurs débordants d’amour tendre qui se perdent, se cherchent et se retrouvent ; Turlututu qui, dans un joyeux et créatif livre animé, quitte valeureusement ses parents éplorés en chevauchant son fidèle Galopin, affronte Croquemitaine et Dragon puis conquiert un trésor et l’amour de la jolie Lili (Le voyage de Turlututu, Pastel, 2000). Les références littéraires affleurent, des romans de chevalerie aux histoires de pirates, et même à la Bible. Ainsi, dans une belle histoire d’amour et de Noël, trois lapereaux qui, tels les Rois mages des Evangiles, suivent une étoile dans la nuit, sont guidés par un clown jusqu’à un chapiteau illuminé pour y admirer la charmante écuyère en qui le plus jeune, Fenouillet, reconnaît son étoile d’or. Un album magnifique, lyrique et gentiment sacrilège (La Nuit de l’étoile d’or, Pastel, 1993). Même sa ravissante trilogie pour bébés (Clown, Trou-Trou, Qui ? Où ? Quoi ?, Pastel, 1994), est savamment truffée d’allusions aux comptines et contes du patrimoine et fait discrètement référence au Petit Prince qui ressemble, comme un frère, aux jeunes héros de tous ces délicieux livres.

Le désir de devenir clown est fort répandu chez les enfants. Par une fable anthropomorphique, Antoon Krings, dans un album aux coups de pinceau généreux et à la chaude palette, l’attribue à un jeune éléphant. Hélas! Il n’en a pas les dons. En revanche, il sauvera le chapiteau en éteignant un incendie avec sa trompe et deviendra ainsi le plus célèbre des pompiers de cirque (Amédée,L’Ecole des loisirs, 1990).

Pour Philbert, enfant de la balle, c’est sa mère qui le rêve en clown. Mais il ne sait rien faire de bon et le directeur de cirque, d’un brutal coup de pied au derrière, le renvoie. Au hasard des rencontres, des émerveillements, des émotions, il glane des expériences qu’il accumule dans son bagage. Valise pleine et cœur léger, il revient au cirque où, désormais, « tout le monde chavire » : il n’est clownerie sans richesse humaine (Samuel Ribeyron, Philbert, Didier, 2003).

Histoire d’un apprentissage encore que Le Clown jaune de Philippe Sedletzki et Valérie Gibert (Kaléidoscope, 2001), une débauche de couleurs vives et de silhouettes pittoresques dans le contexte d’une famille de joyeux saltimbanques.

On pourrait clore cette parade enfantine par un enchantement lyrique et minimaliste : Clown, ris ! de Jacques Duquennoy (Albin Michel, 1999), avec ses subtils dessins à la plume noire rehaussés des taches rouges, celles du nez, bien sûr, mais aussi des fleurs, que le charmant poète fait naître, sous la lune, par la magie créatrice de son imagination.

« Eh ! Quoi ! écrivait Baudelaire. L’humanité a pu être aussi belle que cela ? »

publié le :02/03/2014
par : Parole
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