Janine Kotwica

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François Ruy-Vidal: le retour


Il avait disparu depuis plus de vingt ans de l’horizon éditorial, incompris, mal aimé -ou du moins croyant l’être-, blessé, et jurant qu’on ne l’y prendrait plus… Il s’était terré dans le fond d’une boutique d’antiquaire, ne répondant plus au courrier et peu enclin aux retrouvailles avec ses anciens interlocuteurs en littérature..

Ses fans collectionnaient ses livres qui avaient rejoint les fonds « Nostalgie » des bibliothèques…

Le phare de l’album illustré semblait à jamais éteint…

Et puis, en l’an 2000, il apparaît furtivement à un colloque de l’Heure Joyeuse…

Et puis il pointe de plus en plus souvent son museau toujours fureteur dans les foires et salons…

Et puis, lui qui fut toujours un grand épistolier, voilà qu’il renoue des correspondances avec ses anciennes connaissances, avec amitié voire tendresse pour certains, mais d’une plume acérée, à jamais  vindicative, pour d’autres..

Et puis – grand branle-bas dans le Landernau du livre de jeunesse- , le bruit se propage peu à peu qu’il remonterait bientôt une maison d’éditions…

Et puis, et puis, et puis… de rumeur en annonce, la nouvelle, l’incroyable nouvelle, se confirme:

les jeunes éditions Des Lires viennent de naître, publiant d’abord sept titres au printemps dernier, puis trois cet automne.

Le phénix a ressuscité de ses cendres, toujours aussi pugnace, toujours aussi enthousiaste, toujours aussi malcommode…

Aux jeunes auteurs et illustrateurs, il a fallu alors faire un petit résumé d’histoire éditoriale.

« François Ruy-Vidal?  Qui est-ce? »

Mais pour ceux qui, comme moi, sont entrés en littérature de jeunesse dans les années 1970, la chose allait de soi. Il est cependant difficile d’imaginer maintenant l’importance que son militantisme et ses idées ont eu alors pour le livre, et surtout pour l’album illustré.

A l’époque, cet ancien instituteur, ne se disait pas éditeur mais « concepteur » de livres.

Déçu par la médiocrité générale des productions du marché depuis l’après-guerre, entraîné dans la mouvance américaine- c’est le temps des premiers Sendak et Lionni-, menant ses projets et réflexions parallèlement à ceux de Robert Delpire ou de Jean Fabre, il élabore progressivement une vision théorique de la lecture et surtout du jeune lecteur, que j’ai très vite faite mienne.

On se souviendra bien évidemment de la fameuse profession de foi :

« Il n’y a pas de littérature pour enfants, il y a la littérature.

Il n’y a pas de couleurs pour enfants, il y a les couleurs.

Il n’y a pas de graphisme pour enfants, il y a le graphisme… »

Et sa célèbre conclusion reste bien d’actualité:

« Un livre pour enfants est un bon livre quand il est un bon livre pour tout le monde. »

Dire que les enfants souffrent d’amour, de jalousie, de révolte, dire qu’ils s’interrogent sur le sens de la vie et de la mort, qu’ils ont des émotions esthétiques et une exigence intellectuelle qui n’ont rien à envier à celles de l’adulte, qu’ils sont dotés d’esprit critique et qu’ils peuvent être responsables de leurs choix, était un discours que peu pouvaient alors entendre.Trop novateur…

Mais il eut d’emblée le ferme soutien de Marc Soriano…

Il édite alors des textes de haute volée, sollicite avec succès Ionesco et Marguerite Duras, publie Lewis Carroll et Roland Topor, Alphonse Daudet et Oscar Wilde, Pierre Gripari et Françoise Mallet-Jorris, et de nombreux autres contemporains de talent…

Il découvre les potentialités créatrices d’illustrateurs qui, depuis, ont fait leurs preuves, les Henri Galeron, Etienne Delessert, Claude Lapointe, Nicole Claveloux, Alain Gauthier, Danièle Bour, Alain Letort, Jean Claverie, Keleck: excusez du peu! S’il n’a pas toujours été le premier à leur donner leur chance  (certains polémiqueront là-dessus…), il a confié leurs premiers grands livres à des artistes ayant une forte personnalité graphique, loin de la miêvrerie qui était souvent l’apanage des publications pour la jeunesse…

Il est aussi le premier à envisager l’album comme une oeuvre non systématiquement destinée à l’enfance et à publier des livres illustrés pour adultes.

Son parcours est jalonné de réussites éditoriales, indéniables, mais aussi de ruptures, et de nombreuses polémiques: rupture avec Harlin Quist avec qui il collabora cinq longues années (1967- 1972), passage chez Delarge, collaboration avec Grasset Jeunesse et aux éditions de l’Amitié…

Provocateur, il avait l’art de hérisser certains publics, frileux ou amorphes. Ses exigences et son élitisme n’ont pas toujours été bien compris et un différend célèbre l’a opposé, entre autres, à la très médiatique Françoise Dolto qui eût sans doute réagi plus favorablement quelques années plus tard. Avec beaucoup d’agressivité, celle qui, paradoxalement, deviendra la prêtresse du «parler vrai», du «tout dire à l’enfant», du « un enfant peut tout comprendre», a un peu vite jeté l’anathème, dans une interview à une journaliste de l’Express, sur des images jugées traumatisantes de livres …qu’elle n’avait pas lus!, allant même, plus tard, jusqu’à parler de « génocide de l’imaginaire »…

Elle a manqué de finesse et d’ouverture d’esprit… Il s’est défendu avec un sexisme, une maladresse et une violence verbales qui ont masqué la pertinence et la cohérence du propos éditorial. Françoise Giroud s’en est mêlée, prenant directorialement le parti de sa journaliste…

Ces dames ne sont plus, pour émettre un éventuel jugement hic et nunc: paix à leurs cendres…

Mais, maintenant que le temps a fait son oeuvre pacificatrice, on pourrait publier l’ensemble de ce dossier qui ne manque ni de sel ni de piment!

Désavoué, déçu, il a préféré partir, se décrivant comme un « chien malade, rongé par les puces et les tiques », abandonnant même des livres en chantier..

Vingt ans après… Vingt ans après, que publie-t-il , maintenant que la bête a retrouvé brillance du poil et énergie?

Sa livraison printanière comportait six rééditions de ses anciens catalogues, dont les premières éditions s’étagent de 1976 à 1980 et réjouiront les fans de la première heure..

Danièle Bour y a la part belle, avec son délicieux  Boucle d’or, mais aussi le Voyage à Poudrenville sur un texte onirique de l’excellent Jean Joubert , et encore L’ascension, discrètement féministe, d’Adèle Lapinou de Henriette Bichonnier. 

Féministe encore, et joyeusement sadique, est Le bistouri de Mademoiselle Dard que le maître a écrit lui-même d’une plume alerte, en confiant les images au «BDiste» Jacques Lerouge.

Parabole philosophique et poétique à la fois, La courte échelle de Fulvio Testa a l’élégance et l’austérité du dessin en noir et blanc.

Au pied de la lettre présente des jeux de langage remarquables de Jérôme Peignot illustrés par Robert Constantin: un album célèbre, à la couverture très graphique, dont la réédition était très attendue.

Le septième titre de cette première saison, qui n’est pas une réédition d’un ancien «Ruy-Vidal»,

 est la seule nouveauté sur le sol français de cette livraison. Dû aux talents conjugués de Laura

 Fischetto et de Letizia Galli, Arlequin et la robe verte nous présente un canevas jubilatoire qui met en scène d’italiénissimes personnages de la Commeddia dell Arte. Paru aux Etats-Unis en 1994 , il n’avait jamais été traduit. Toujours pédagogue, François Ruy-Vidal a enrichi son édition

d’une préface qui situe  La Commedia dell Arte dans notre patrimoine, comme il l’a fait également pour Boucle d’Or.

Au nombre de sept, ces premiers titres, chiffre symbolique de l’univers des contes…

Paraissent , cet automne, des albums que François Ruy-Vidal n’avait pas pu réaliser autrefois et qui lui tenaient à coeur.

Trois titres, cette fois, autre chiffre chargé de symboles…

Le Cheval de feu de Maïakovski, illustré par Flavio Constantini, n’est pas paru à ce jour.

En revanche, les deux autres nous sont maintenant connus.

Denis Pouppeville, peintre de grand talent et dessinateur à l’univers sombre et parfois grotesque, qui illustra des textes de Vincent Pachès, s’est mis au service d’un recueil de Gilbert Lascault, Cinq histoires en forme de trèfle, premier écrit pour la jeunesse de ce génial humoriste.

Un texte et des images d’une grande exigence et, partant, un bel album qui ne peut passer inaperçu.

Alain Letort, dont nul n’a oublié ni son  Brun l’Ours et le Bois  paru chez Delarge en 1978, ni Carabi toto carabo, ni L’habit d’Arlequin  parus tous deux  aux Editions de l’amitié –  François Ruy-Vidal  en 1979 et 1982, témoins de son ancienne connivence avec François Ruy-Vidal, a imagé une nouvelle de Michel Tournier, parue en 1978 dans Le coq de bruyère, La famille Adam. Par cette réécriture savoureusement iconoclaste de la Genèse, l’auteur s’y amuse, en mythologue quelque peu farceur, des textes fondateurs de l’humanité. Un album qui fut autrefois interdit sous une pression… épiscopale, heureusement réédité avec une illustration inattendue qui en démultiplie les significations. Là aussi, une réussite peu contestable.

Ces deux ouvrages ont fait l’objet d’une édition tirée à part sur grand papier et ont été, avec les joyeux originaux, très admirés également, de Arlequin et la robe verte, au centre d’une exposition de la Librairie Nicaise où on a pu revoir, et l’ensemble des couvertures du Fonds Nostalgie Ruy-Vidal, et quelques dessins de la collection personnelle de l’éditeur, et aussi quelques savoureux documents, de censure en particulier. Beaucoup de monde à l’inauguration, pour plébisciter très chaleureusement ce retour…Une rentrée réussie…

Et après? D’autres rééditions, sans doute, fantômes du passé… De Ruy-Vidal, certes, mais d’autres aussi…Et des nouveautés?  Et quelles nouveautés?

Nombreux sont, en effet, les nostalgiques qui aimeraient voir réapparaître les Contes de Ionesco, ou Monsieur Poméranie, ou Ah! Ernesto! , ou encore la première édition du Géranium sur la fenêtre, hommage lyrique à la sensibilité et à la créativité piétinées du petit écolier, que des rééditions successives ont affadi et rendu insipide.

Et nous espérons que le temps effacera les vieilles rancoeurs et querelles pour que ces livres, devenus des classiques,  puissent faire le bonheur de nouveaux lecteurs…

Mais une maison d’éditions ne peut vivre de ses restes, si glorieux fussent-ils.

Et l’on attend, de ce talentueux découvreur, des livres nouveaux, écrits par des écrivains nouveaux, et illustrés par des illustrateurs nouveaux.

Bon vent au Christophe Colomb de l’album qu’attendent encore de fabuleuses terres inconnues!

publié le :
par : Parole

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